Figure historique des Pôles d'Echange de Pratiques sur la Supervision au sein de PSF, Jean-Luc Ewald a fait le choix en septembre 2022 de quitter cet espace de respiration et de recherche pour offrir son temps à d'autres publics

1. Résumé de mon parcours avec le PEPS de fin 2016 à fin 2022

• Phase de lancement « technique » : thèmes de réflexion et échanges de pratiques

• Phase d’émergence : apprendre à fonctionner dans l’émergence – écoute en résonance et présence, puis réflexion sur l’impact sociétal de la supervision, en lien avec le Colloque 2019 de PSF.

• Déstabilisation due au Covid 19, nous nous cherchons, puis refondation grâce à la journée Portes Ouvertes de septembre 2020 – histoires de vie et nouvelle configuration de rencontres : intervision et thèmes d’approfondissement.

• Nouvel équilibre en 2021-22 : arrivée de quatre nouveaux membres et échanges fructueux

2. Comment le Peps m’a-t-il fait évoluer ?

• D’un attrait pour les connaissances, compétences de superviseur à une conscience plus fine de la posture ; les zones d’ombre et les libertés à se donner tout en veillant à certains garde-fous.
• D’une animation assez formelle à quelque chose de plus informel et créateur, grâce à l’authenticité des relations.
• Un niveau de confiance profonde partagée entre tous
 
J’ai reçu le PEPS comme un cadeau, un « cercle des 7 » , comme Otto Scharmer l’évoque dans Theory U ,où règne une bienveillance inconditionnelle porteuse pour les projets de chacun. J’y ai trouvé la joie de co-animer avec Stéphanie et Samia , constituant un point d’appui pour les membres du groupe. Merci Samia !

3. Groupe d’échange de pratiques ou groupe de recherche

Le Peps contribue à la respiration et à la croissance de la posture de ses membres.

4. Mes raisons d’arrêter

• Depuis un an, j’ai voulu donner de ma personne et de mon temps dans le champ de la solidarité et être davantage disponible à mes proches.

 
Je vous dis à toutes et à tous au revoir, bon vent, et un grand merci pour tout ce que vous m’avez apporté.

Jean-Luc